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De l'éloge à la polémique : Teddy Riner pris dans la tourmente après un message contre Emmanuel Macron

Photo du rédacteur: Raïssana YssoufiRaïssana Yssoufi

L'été dernier, les Jeux Olympiques de Paris ont été le théâtre de moments inoubliables. Avec 64 médailles glanées, la délégation française a fait vibrer le pays.


Parmi les héros de cette édition, Léon Marchand, prodige des bassins, et Teddy Riner, légende du judo, ont captivé la nation. Riner, en particulier, a marqué les esprits en clôturant la cérémonie d'ouverture comme dernier porteur de la flamme et en remportant une nouvelle médaille d'or dans la catégorie des +100 kg. Mais ce n'est pas tout : ses accolades avec Emmanuel Macron, notamment après sa victoire, ont fait le tour des médias, témoignant d'une complicité inattendue entre le sportif et le président.


Cérémonie d'ouverture JO 2024

Une prise de position qui choque

Pourtant, l'harmonie affichée pendant les Jeux semble désormais brisée. Sur sa page X, Teddy Riner s'est indigné contre une décision du gouvernement : la réduction de 33 % du budget dédié au sport dans le projet 2025. "Après des Jeux extraordinaires, comment peut-on laisser cette flamme s'éteindre ? Le le sport est essentiel pour notre jeunesse", at-il écrit. Un cri d'alarme qui aurait pu rallier les fautes… si son attitude passée n'était pas revenu le hanter.


Internet, le tribunal sans pitié

Le tweet de Riner n'a pas eu l'effet escompté. Les internautes, rappelant ses démonstrations de proximité avec Emmanuel Macron pendant les Jeux, se sont déchaînés. "Frérot, tu as passé l'été à câliner celui qui a validé ça", ou encore, "Ce n'est pas à nous qu'il faut te plaindre", pouvait-on lire en commentaire. Ce contraste entre ses actions et ses paroles a avancé une vague de critiques, prouvant une véritable fois de plus qu'en ligne, rien ne s'oublie.


De héros olympique à cible des réseaux sociaux, Teddy Riner découvre que la moindre incohérence peut devenir un boomerang médiatique. Alors, l'athlète parviendra-t-il à rallumer la flamme auprès du public ? À suivre.

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