Rym Renom rattrapée par la justice : un an de prison ferme et un mandat d’arrêt .

Derrière les filtres, la chute est brutale. 

Rym Renom, ex-candidate de télé-réalité et influenceuse aux 1,8 million d’abonnés, vient d’écoper d’un an de prison ferme. Une condamnation aussi inattendue que fracassante, assortie d’une amende de 25 000 euros… et d’un mandat d’arrêt. L’info, lâchée sur X (ex-Twitter) par le préfet des Yvelines ce samedi 5 avril, a fait l’effet d’une bombe dans le monde feutré des influenceurs.

Des stories ensoleillées, des injections illégales en coulisses. 

La justice reproche à Rym des pratiques commerciales trompeuses sur les réseaux sociaux. En cause : la promotion d’une esthéticienne clandestine spécialisée dans les injections d’acide hyaluronique, sans mention de l’intention commerciale ni alerte sur les risques. Un relais dangereux, maquillé en simple conseil beauté, qui aurait touché des milliers de followers. Les faits remontent à 2022-2023, alors que la jeune femme vivait encore à Feucherolles, dans les Yvelines.

Un procès sans elle, des comptes bancaires saisis. 

Absente à l’audience du 11 février dernier, l’influenceuse a laissé le tribunal statuer sans mot dire. Résultat : 40 000 euros saisis sur ses comptes, et un silence radio qui interroge. Aujourd’hui encore, Rym n’a toujours pas réagi publiquement à cette condamnation.

Rym Renom, muette sur la justice, bavarde sur son ex. Si elle fuit les questions judiciaires, l’influenceuse a récemment pris la parole sur Instagram… mais à propos de Vincent Queijo, son ancien compagnon, fraîchement séparé de Marwa Merazka. Interpellée par des abonnés, elle a répondu sèchement : "Ce ne sont pas mes problèmes."

Une lionne pour ses filles, un fantôme pour la justice. 

En revanche, Rym se veut ferme sur un point : protéger ses deux filles, Maria-Valentina et Alma. "Je ferai tout pour qu’elles ne vivent jamais dans un environnement malsain." Une déclaration maternelle forte, qui contraste avec la tempête judiciaire qui l’engloutit.

Rym Renom est-elle en cavale ou simplement en retrait ? Une chose est sûre : le monde des influenceurs n’est plus un terrain sans règles. Et cette fois, ce n’est pas un bad buzz. C’est la justice.