Poutine réunit ses alliés pour montrer que la pression de l'Occident ne fonctionne pas. Vladimir Poutine était qualifié de paria après avoir envahi l'Ukraine. Des sanctions imposées à l’occident visent à couper l’économie russe des pays des marchés mondiaux. Un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale qui a été lancé contre Vladimir Poutine. Mais le chef du Kremlin a un moyen pour montrer que la pression ne fonctionne pas en organisant un sommet qui a trouvé ses alliés du sud. « Le message est clair, les tentatives d'isolement de la Russie ont échoué ». « Le message du Kremlin consiste en grande partie à dire que la Russie résiste aux sanctions. au niveau géopolitique, la Russie à tous ces amis et ils sont tous ses partenaires ». Brics ce groupe, souvent considéré comme un contrepoids au monde occidental, s'est élargi à l'Égypte, à l'Éthiopie, à l'Iran et aux Émirats arabes unis. L'Arabie saoudite a également été invitée à s'y joindre. Les pays des Brics représentent 45% de la population mondiale. Ensemble, les économies des membres valent plus de 28,5 milliards de dollars. Cela représente environ 28 % de l'économie mondiale.
Des responsables russes ont indiqué que 30 autres pays souhaitaient rejoindre les Brics ou cherchaient à resserrer leurs liens avec le club. Certains de ces pays participeront au sommet. À Kazan, cette semaine, on s'attend à ce que les Brics représentent la « majorité mondiale ». Mais outre le fait qu'il offrira à Vladimir Poutine son moment de gloire sur la scène géopolitique, quel sera l'objectif de cet événement ? Soucieux d'alléger la pression exercée par les sanctions occidentales, le chef du Kremlin espère convaincre les membres des Brics d'adopter une alternative au dollar pour les paiements internationaux. « Une grande partie des problèmes auxquels l'économie russe est confrontée sont liés au commerce et aux paiements transfrontaliers. Et une grande partie de ces problèmes est liée au dollar américain ». « Le Trésor américain a un pouvoir et une influence énorme sur le commerce mondial, simplement parce que le dollar américain est la monnaie principale de règlement.Le principal intérêt de la Russie est de briser la domination du dollar américain. Elle souhaite que les pays du Brics créent un mécanisme commercial alternatif et un système de règlement transfrontalier qui n'implique ni le dollar, ni l'euro, ni aucune des monnaies du G7, afin que les sanctions n'aient plus autant d'importance. . . Mais les critiques soulignent les différences au sein des Brics. Le mot « sympathie » n'est pas un terme que l'on utiliserait pour décrire les membres actuels. « D'une certaine manière, c'est une bonne chose pour l'Occident que la Chine et l'Inde ne pourront jamais se mettre d'accord sur quoi que ce soit. Car si ces deux pays étaient vraiment sérieux, les Brics auraient une énorme influence ». « La Chine et l'Inde font de leur mieux pour éviter de s'attaquer l'une contre l'autre la plupart du temps. Essayer de les amener à coopérer réellement sur le plan économique est un défi sans fin ». L'Inde et la Chine ne sont pas les seules à avoir des différends. Des tensions existent entre deux des plus récents membres des Brics, l'Égypte et l'Éthiopie. Et, malgré les discours de détente, l'Iran et l'Arabie saoudite sont depuis longtemps des rivaux régionaux. « L'idée qu'ils vont tous se mettre d'accord sur quelque chose de substantiel est vraiment absurde ». Et tandis que la Russie, nourrie par un sentiment anti-occidental, parle de créer un « nouvel ordre mondial », d'autres membres des Brics, comme l'Inde, s'engagent à conserver de bonnes relations politiques et économiques avec l' Occident.
À Kazan, la tâche de Vladimir Poutine est d'effacer les différences et de brosser un tableau d'unité, tout en montrant à l'opinion publique russe - et à la communauté internationale - que son pays est loin d'être isolé. 'Égypte et l'Éthiopie. Et, malgré les discours de détente, l'Iran et l'Arabie saoudite sont depuis longtemps des rivaux régionaux. « L'idée qu'ils vont tous se mettre d'accord sur quelque chose de substantiel est vraiment absurde ». Et tandis que la Russie, nourrie par un sentiment anti-occidental, parle de créer un « nouvel ordre mondial », d'autres membres des Brics, comme l'Inde, s'engagent à conserver de bonnes relations politiques et économiques avec l' Occident. À Kazan, la tâche de Vladimir Poutine est d'effacer les différences et de brosser un tableau d'unité, tout en montrant à l'opinion publique russe - et à la communauté internationale - que son pays est loin d'être isolé. 'Égypte et l'Éthiopie. Et, malgré les discours de détente, l'Iran et l'Arabie saoudite sont depuis longtemps des rivaux régionaux. « L'idée qu'ils vont tous se mettre d'accord sur quelque chose de substantiel est vraiment absurde ». Et tandis que la Russie, nourrie par un sentiment anti-occidental,parle de créer un « nouvel ordre mondial », d'autres membres des Brics, comme l'Inde, s'engagent à conserver de bonnes relations politiques et économiques avec l'Occident. À Kazan, la tâche de Vladimir Poutine est d'effacer les différences et de brosser un tableau d'unité, tout en montrant à l'opinion publique russe - et à la communauté internationale - que son pays est loin d'être isolé.
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