Le Président Poutine, l'homme d'État russe intriguant, a débuté le 1ᵉʳ janvier d'une manière peu conventionnelle, se rendant de bon matin à l'hôpital militaire Vishnevsky près de Moscou. À 9 heures, alors que la plupart d'entre nous étions encore dans les bras de Morphée, Poutine distribuait ses vœux, inspectait les installations, et promettait une intensification des frappes sur l'Ukraine en réponse aux bombardements sur Belgorod.
Revêtant un costume noir et une chemise ciel dépourvue de cravate, Poutine semblait peu soucieux de la sobriété vestimentaire, brisant les codes d'élégance traditionnels. Une élégance vestimentaire bafouée, avec une règle fondamentale d'élégance antique délibérément ignorée : la manche de la chemise ne dépassait pas celle de la veste, défiant les normes.
À ses côtés, un homme en blouse blanche attirait l'attention. L'effet blouse blanche, connu depuis des décennies, suscite des interrogations sur son impact physiologique sur Poutine. La simple vue d'un médecin en blouse blanche peut-elle influencer son rythme cardiaque ou sa tension ? Le mystère demeure.
Accompagnant Poutine, le secrétaire d'État Nikolaï Pankov, vêtu d'un blouson zippé vert et d'un tee-shirt couleur sable, dénotait une décontraction réglementaire. En 2012, une réforme vestimentaire modernisa le dress code des militaires russes, remplaçant la veste, la chemise et la cravate par le blouson et le tee-shirt.
Une révélation surprenante surgit alors : Sergueï Choïgou, ministre de la Défense depuis quatorze ans et initiateur de la réforme vestimentaire, était présent sur une tapisserie évoquant l'aménagement d'intérieur soviétique. Ce cliché soulève une interrogation supplémentaire : le calendrier ornant la scène est-il un vestige de 2023 ou une nouveauté annonçant 2024 ? Le mystère s'épaissit, révélant une journée bien plus intrigante que prévu.
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